le chalutier breton
Salut à tous les fans de mon blog ! (et vous êtez de plus en plus nombreux, je vous felicite)
Aujourd'hui nous allons abordé un sujet typique des ports de pêche: les CHALUTIERS. La plupart de ces bateaux sont destinés à la casse étant qu'il n'y aura bientôt plus rien à pécher si ce n'est des SURIMIS.
J'étais à la mi avril en Bretagne, Terre d'asile de Bernard Hinault et plus précisément à Loctudy, port d'Eric TABARLY. Là bas la spécialité des pêcheurs n'est pas le thon rouge mais les "demoiselles" de Loctudy autrement dit les langoustines (vous savez les grosses crevettes qui vous explose à la figure quant vous les mangez). Enfin bref, j'étais dans le Finistère sud, foyer des "vrais" bretons pas ceux qui habitent Nantes ou Rennes. Et là j'ai eu le plaisir de découvrir un vaste panel de chalutiers tout à la fois moderne et riches de couleurs chatoyantes.
Au travers de la "visite" de ce port de pêche, je m'interrogeais sur plusieurs choses qui intriguait mon esprit tout au long de mon cheminement photographique.
- Aucun chalut n'est pareil, y a des pt'tits des gros, des bleus, des verts, des jaunes fluos y en a même qui portent le nom de leur conducteur. Après réflexions, je compris dun problème spécifique aux bretons, afin de ne pas perdre leur moyen de locomotion dans ce type de parking (rien ne ressemble plus un port de pêche qu'un port de pêche), chacun customise son bateau afin de le répérer facilement: c'est pour cela que leur plaque d'immatriculation est gigantesque et quand un doute substiste: y mettent le nom du propriétaire en gros. MALIN ! (on devrait faire pareil nous mésirable terriens avec nos voitures).
Voici un modèle de chalutier "sans permis" en cours de révision:
Son nom: la galette du large.
A demain
Nb: (toutes les photos sont prises avec le pentax 80-320).